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Encore un outil tranchant hérité de mon grand-père sarde. Et cette fois, c’est du fait maison. Une lame de serpe, fichée dans un long manche (un tube d’aluminium d’environ 1m50). Ça a l’air de pas grand chose comme ça, mais depuis six ans que je me bats contre les ronces, c’est de loin l’outil le plus efficace que j’ai eu entre les mains.

D’une part le long manche permet de rester à distance des épines. J’ai bossé hier en T-shirt et sans gants : mais pas la moindre égratignure. De plus, ce manche permet de prendre pas mal d’élan et d’avoir une force assez conséquente (un peu comme avec une faux).

La forme de la lame agrippe et coupe parfaitement ronces et arbustes au niveau du sol et sa solidité permet de ne pas craindre un caillou perdu.

Cadeau bonus : avec un peu d’habitude, on arrive dans un même geste à couper et mettre directement en tas.  Si ! Si !

Pour  les plus sceptiques voici la preuve en image :
Un taillis composé de ronces, prunus et rejets d’acacia. Taille : 4m x 2m sur 2m de haut.

Exactement 15minutes plus tard :
Plus de taillis et un beau tas de branche ! Impressionnant non ?

J’ai cherché sur le net une trace de cet outil formidable sans grand succès. J’ai juste trouvé trois noms en patois : un daille ou un gojard ou un gouya. Si quelqu’un connait un nom plus générique, merci de nous tenir au courant !

M.

Attention, outil très efficace !
Héritée de mon grand père cette serpe italienne (ou serpette) est d’une redoutable efficacité pour élaguer les arbres de leurs branches basses, nettoyer un tronc abattu et couper rejets et ronces, fendre du bois de petite section. Par défaut, elle peut également remplacer une petite hache pour couper des petits troncs (jusqu’à 15/20 cm de diamètre) avec un peu de courage et d’effort. L’aiguisage se fait simplement d’un coup de meule à eau. Un crochet bricolé avec un bout de métal permet d’accrocher l’outil a la ceinture grâce au trou dans la lame. On veillera a toujours l’accrocher tranchant vers l’arrière pour éviter qu’un doigt ou une main ne viennent s’y frotter. Coté entretien : un graissage de la lame et un cirage du manche en cuir de temps en temps devrait faire l’affaire.

M.

Comme tous les mercredis matins : Marché. C’est pas vraiment la saison idéale pour les légumes. Ceux d’hivers sont sur la fin et ceux de printemps pas encore vraiment là. Résultat : pas des masses de choix et des prix plutôt élevés.  J’aurais pu faire comme la nana devant moi et prendre des courgettes (du Maroc), des aubergines (d’Espagne) et des tomates (de France mais à 4.90€ le kg)… J’ai plutôt opté pour un chou vert, deux choux raves, des carottes, des  patates, de l’ail, et des magnifiques petits navets tout jeunes.

Comme A. avait ramené de la bibliothèque un bouquin avec une recette de petits-pains, nous l’avons testée. Rien de bien révolutionnaire : 500g de farine, 25cl d’eau, 2 cuillères à café de sel, une cuillère à soupe de sucre et 40g de levure sèche. On laisse monter 2h, on forme les petits pains de la taille d’une orange, on laisse encore monter 30min et on cuit 20min à 220°. Tout chauds, tout frais ils ont fait un carton au goûter de 4h avec des confitures de coings et de prunes.

L’après-midi je me suis attaqué aux ronces qui envahissent notre terrain. L’occasion pour moi de tester un autre outil tranchant légué par mon grand-père. Une lame de serpe monté sur un long manche (tuyau d’alu récupéré). Une fois de plus je suis bluffé par l’efficacité de la chose. Je ferai une fiche outils prochainement sur le sujet. On a décidément bien plus de choses à apprendre de nos « anciens » qu’on ne l’imagine.

Le soir petites courses chez notre épicier arabe pour acheter un cou d’agneau et en faire un délicieux navarin avec les navets du marché de ce matin. Un délice ! J’ai fait griller le cou sur toutes ses faces dans une grande cocote en fonte, puis j’ai rajouté 2 oignons émincés et j’ai couvert de bouillon. Au bout d’une heure j’ai rajouté les navets, des patates et des carottes coupées en gros cubes. J’ai laissé cuire encore 30min avec un bouquet garnis.

M.

 nous avons jetté : déchet recyclable 1bac la météo : soleil mais pas chaud
13l.
on a fait du pain 700g on a mangé Midi > 2pissaladière 2wok – Soir > enfants :wok de boeuf, parents : navarin d’agneau
On a fait les courses: Marché 9€, Lidl 24€, Orient Marché  10€

A part une nouvelle couche de lasure sur mes panneaux, j’ai passé l’essentiel de ma journée a jouer au bucheron.
Le but principal était de rentrer du bois pour les barbecue de l’été, mais j’en ai profité pour nettoyer un peu notre parcelle de robinier faux-acacia.
Alors que je galérais dans les rejets de prunus  et les ronces, je me suis souvenu que mon grand-père n’abordait jamais les chemin broussailleux de Sardaigne sans sa serpette (dite aussi serpe italienne) et qu’il me l’avait offerte quand nous avions acquis ce terrain. Un bon coup d’aiguisage à la meule et me voilà prêt a redécouvrir cet antique outil. Toujours en invoquant les souvenir du vieux Nonno je me suis fabriqué, comme il l’avait fait un crochet pour pouvoir porter la serpe a la ceinture.
Le fait est que cet outil c’est avéré d’une efficacité redoutable ! En une heure le terrain était nettoyé des rejets, les arbres élagués de leurs basses branches  et j’ai même réussit, sans trop d’effort, a couper deux troncs d’une bonne quinzaine de centimètre. Je ferais rapidement une fiche outils sur le sujet.

Après quoi, retour au temps modernes avec le coupage à la tronçonneuse de toutes les branches mortes ramassées au sol pour les barbecues estivaux.
Demain les enfants m’aideront à ranger ça à l’abri, sur la terrasse, dans l’attente des prochaines merguez.

Le soir nous avons préparé une quiche avec des cèpes trouvés cet été et congelés. Simple, très bon efficace et pas cher. Que demander de plus ?
Ma chère et tendre réalisera une fiche recette sous peu.

M.

nous avons jetté : compost 15l la météo : très beau et chaud. Pluies la nuit 3mm.
on a mangé Midi > 4 pâtes au thon  – Soir > enfants : haricot vert (conserve maison)  et œufs durs , parents : quiche aux cèpes, poireau, lardon.