Un moyen simple et quasiment gratuit d’avoir un vinaigre léger et sympa.Il faut simplement des pommes non traitées (important !), de l’eau que vous aurez dé-chlorée (soit en la faisant bouillir, soit en la laissant à l’air libre 24 à 48h), et un grand récipient en terre cuite, verre ou bois qu’on aura préalablement bien lavé au vinaigre blanc.

Il suffit de couper les pommes en morceaux. On enlève la queue et les parties abimées mais on laisse peau et pépin. On met dans le pot et on couvre avec l’eau.

On « ferme » le pot avec un bout de tissu et un élastique et on laisse reposer pendant 10 à 20 jours, à température ambiante. Le premier processus va être une transformation du sucre des pommes en alcool.  On remue tous les 2 à trois jours en vérifiant que tout ce passe bien (pas de moisissures). Il doit y avoir une légère mousse en surface et une bonne odeur de vin nouveau. Les pommes en surface brunissent, c’est normal.

Quand ça ne mousse plus trop c’est que la fermentation est terminé. On peut passer à la transformation en vinaigre.
On filtre le tout dans une passoire pour enlever les morceaux pommes. On remet le liquide dans le pot. On referme avec le torchon, et on laisse tranquille pendant au moins une vingtaine de jours. Si on a du vinaigre artisanal (surtout pas industriel) on peut en mettre une cuillère, ça aidera la formation de la mère. Mais ce n’est pas obligatoire.
Une pellicule va se former en surface. C’est la fameuse mère de vinaigre : une colonie de bactéries qui transforment l’alcool en acide acétique. Il ne faut surtout pas la malmener et la laisser flotter en surface. La température idéale pour que ça marche se situe autour de 20°


Quand on est satisfait de l’odeur, on peut gouter voir si le vinaigre est suffisamment acide. Si c’est le cas, il n’y a plus qu’à filtrer et mettre en bouteille.  Quand on filtre on peut récupérer la mère, en donner un bout à un copain et l’utiliser pour lancer un autre vinaigre, de vin par exemple.


Et voilà la vidéo que j’ai fait sur le sujet :
https://youtu.be/1rWD5k-0M8k

Salut les gens ! C’est dans deux semaines que je participerai à ma toute première expo ! Sur le stand j’aurai une bonne dizaine de couteaux inédits en expo et du matos pour expliquer le processus de fabrication. En plus, le samedi et le dimanche à 11h je ferai un conférence sur la coutellerie. Anatomie du couteau, comprendre les aciers, survoler un peu les type de couteaux, etc…. Bien entendu ça me ferai super plaisir que tu passes me voir ! En plus il y aura aussi les copains Manu Fernex, Martz Forge Gabriel Goerger et Guy Butterlin et plein d’autres artisans bourrés de tallent. Le programme complet est là : http://www.fremaa.com/m…/documents/ProgANDLAU-A5-2019(1).pdf
N’hésite pas a partager l’info ! merci !
https://www.facebook.com/events/1492439894223496

Parce qu’acheter durable c’est jeter moins.

Comme dit dans la vidéo ci-dessous, ceci n’est pas LA recette de pain. Ce n’est pas non plus LA meilleure recette. C’est la recette la plus adapté à notre emploi du temps, pour faire du pain 2 à 3 fois par semaine sans se prendre trop la tête. Cela fait 10 ans maintenant que nous faisons notre pain et c’est cette recette que nous utilisons aujourd’hui après moult expériences.  Ce qui n’empêche pas de temps en temps d’utiliser d’autres recettes.

Place à la vidéo et puis je vous donnerai les proportions et temps de cuisson :

 

Pour les proportions (grosso-modo):
Levure : entre 6 et 10g
Farine blanche (T55 ou 65) : 1kg
Farine complète : 500g
Farine « autre » (facultatif) : +/- 100g
Sel : 12g
Eau : c’est très variable selon les farines et je dose vraiment à vue, mais ça tourne autour disons entre 500 et 900g

Pour la farine nous allons maintenant au moulin Kircher avant nous avons longtemps été au moulin de Hurtigheim très bien aussi.

Pour la pousse, entre 1h et 3h pour la première, environs 30 minutes pour la seconde. Pour la première plus c’est long (dans certaines limites) mieux c’est. Pour la seconde si c’est trop long le pain à tendance à s’effondrer à la cuisson.

Le temps de cuisson pour un tel pain :

10min à 250°
puis 15min en baissant à 210°
puis 15min en ayant enlevé le récipient avec l’eau
puis 5 à 10 min en ayant enlevé la plaque de cuisson (pain sur la grille)

Le pain refroidit posé sur une grille.

Mon copain Fab est sur le point d’ouvrir sa propre micro-brasserie. Il m’a demandé un coup de main pour motoriser son moulin a malt. Quand j’ai dit « oui » je ne me doutait pas que ça serait aussi grande aventure. Mais j’ai beaucoup aimé ce projet même s’il y a eu quelques coups durs. J’ai (presque) tout filmé, voici les 5 épisodes, avec dans le dernier, une petite visite de la brasserie.

Pour avoir des nouvelles de la brasserie de Fab c’est sur Facebook ou sur Instagram que ça se passe

La première serre à tomate que nous avions faite il y a 6 ou 7 ans avait besoin de quelques travaux. Or, comme à l’usage, nous avions compris qu’elle était trop loin de tout point d’eau pour être pratique, l’an dernier, en avril, nous avons décidé d’en faire une nouvelle, mieux, plus grande, plus belle et plus proche de la maison. Et comme nous stockions, à cette effet, depuis longtemps, des grandes fenêtres récupérées chez ma sœur et mon beau frère, le moment était venu de les utiliser.La serre sera sur la parcelle du fond du potager. A cette endroit le rocher affleure presque et nous n’arrivons de toute façon à rien planter « de plein champ ».

Première chose planter de grands piquets de soutient aux points stratégiques et en évitant de tomber sur le rocher.

Comme les fenêtres ont un certain poids, je leur fait une petite fondation composée d’une rangé de parpaings et d’une semelle de 5cm de béton par dessus.

Avant de me lancer dans la « charpente », j’ai tiré des ficelles un peut partout pour matérialiser le futur volume.

Et j’attaque la construction avec du demi-chervron premier prix de chez brico-machin.

Lattage sous un magnifique ciel bleu. Les lattes sont celles de l’ancienne serre.

Puis pose de la bâche. C’est le plus gros budget de la serre si on en prend de la bonne (avec un traitement anti-uv qui la protège). Mais l’investissement vaut le coup dans le temps. De la bâche de protection simple durera pas plus d’un an ou deux alors qu’une vrai bâche de serre tiens sans soucis au moins 10ans. Attention, ne soyez pas aussi couillon que moi qui a du tout refaire, elle a un sens et c’est marqué dessus : « cette face à l’intérieur »… Je ne l’ai vu qu’une fois tout bien posé…

Et voilà les fenêtres ! J’ai préalablement démonté toute la quincaillerie (poignée etc…) et découpé les paumelle à la meuleuse. Après elle sont juste vissées à la structure de la serre.

L’autre façade avec la porte, en bâche, histoire de ne pas avoir à gérer un truc trop lourd.

Pour pouvoir aérer (c’est très important en été) j’ai fais de fenêtre à l’opposé de la porte. Je les voulais ouvrantes vers le haut, comme ça, même s’il pleut, l’eau rentre peu. Je me suis inspiré du système des anciennes fenêtres tabatières avec une tige qui garde la fenêtre ouverte dans une position voulu. J’ai mis un gros poids (1/2 bûches) au bout de cette tige pour sécuriser au vent.

Une ouverte, une fermée. Fermée, le seul poids de la buche assure la tenue en place.

Installation de la gouttière.

Début du terrassement.

Au fond on a quasiment pas de terre et le sol est hyper sec car l’eau s’infiltre rapidement par les fissures de la roche. On décide donc de faire une bute. On a creusé au max qu’on pouvait une tranchée, puis on a remplis de bois mort et de brindilles sèches. Le but n’est pas tant de nourrir le sol, car l’organique enterré est semblerait-il très peu nutritif, mais de servir d’éponge pour l’eau. Nous avons déjà testé cette technique à deux endroit où rien de poussait et ça le fait bien chez nous.

Après il n’y a plus qu’a remettre la terre enlevée par dessus.

18° dehors. L’effet de serre marche pas mal ! 🙂

Décompactage de la terre piétinée pendant les travaux.

Installation du tuyaux d’arrosage automatique (on en reparlera).

Grille de récup’ et ficelles pour le tuteurage.

Et en avant !

Voilà, la serre va vivre sa première année. Je vous en fait le bilan dans cette vidéo :

 

Et pour finir quelque photos de l’été dernier :

Voici, en vidéo comment j’ai utilisé un vieux PC pour monter un serveur de fichier réseaux type NAS.

Le but de cette vidéo n’est pas d’être exhaustif. Pour apprendre toute les subtilités de l’installation d’open media vault voici une série de lien qui vous seront utiles :

Le site d’open media vault : https://www.openmediavault.org/

Une très bonne vidéo pour l’installation du nas et d’omv : partie 1  – partie 2

Un autre tuto plus long, plus complexe mais plus complet, en 8 parties sur la chaine de Tonton Joe

Raphaël Rivet a mis quelques articles sympas sur le site de l’école SupInfo avec surtout une bonne méthode pour installer les plug in

D’ailleurs le site officiel des plug in est ici

Le site NoIP pour avoir une adresse ftp même si on est sur de l’IP non fixe

L’article Wikipedia sur les disques en RAID

Comment activer le service SMB1 sur windows10

 

Rajouts du 18/04/19 :

Pour avoir une bonne vitesse d’accès, il est préférable d’avoir tout son réseau en Gigabit Ethernet. Cartes réseaux, switch et câbles RJ45 en catégorie 5. A noter que de nombreuses box adsl ne sont pas en Gigabit. Il est donc préférable de ne brancher aucun ordi et surtout pas le Nas directement dessus, mais de tout concentrer sur un switch compatible Gigabit Ethernet.

J’ai eu quelques soucis avec l’allumage automatisé par le BIOS. Après quelques recherche c’était juste la pile (une CR2032) de la carte mère qui était morte. C’est un classique des vieux PC mais souvent on y pense pas.

Pour allumer le NAS quand il est éteins, j’ai trouvé que le plus simple est d’utiliser une petite application sur son téléphone. Il y en a des tas. Perso j’utilise wake on lan sur android. A priori on peut aussi faire du Wow (réveil a travers le net) mais j’ai pas encore essayé.
Il existe aussi une appli qui permet de faire une grande partie des réglages d’OMV via smartphone c’est Omv remote free.

 

 

 

 

 

Au boulot j’ai récupéré une boite avec plein de clés qui partaient à la poubelle. Sans trop savoir pourquoi j’ai trouvé ça dommage. J’ai donc décidé d’en faire quelque chose.


Comme elles brillaient un peu comme les écailles d’un poisson je me suis arrêté sur cette idée. J’ai donc imprimé un modèle et je l’ai reproduit sur un carreau de plâtre. J’ai ensuite creusé ce carreau de plâtre au ciseau à bois et avec une vielle fraise de défonceuse montée sur la perceuse. Cela m’a donné une forme en creux qui me permettra d’avoir facilement du volume à ma sculpture.
Ensuite, le plus long : passer les clés à la meule pour virer le chromé et les souder une à une .

Voilà le résultat :

Et pour que tout ça soit plus clair et visuel, j’ai fait une vidéo de tout le processus :

L’an dernier je m’étais construit un petit fumoir à base de bric et de broc « pour essayer » :Il était conçu sur la base d’une boite en inox, le foyer était déporté dans un bidon relié avec un tube souple en alu. Si dans l’ensemble ça marchait plutôt pas mal il y avait plusieurs soucis :
-La boite étant très petite le gout de fumé était très puissant, trop même.
-A cause du « froid » de l’inox j’avais beaucoup de condensation, même sur la pièce à fumer ce qui donnait un peu d’amertume.
-Mon foyer, un petit bidon métallique, dans lequel je mettait la sciure en vrac consommait vraiment beaucoup de sciure.
-Impossible de fumer des grande pièce comme une poitrine entière ou un gros jambon.

Cette année j’ai donc décidé de reprendre le projet a zéro. J’ai commencé par faire une spirale de combustion inspirée par celle vendu chez les vendeurs de fumoir. J’avais des tôles perforé récupérées d’un vieux bureau métallique. Après quelques essais je me suis rendu compte que ça ferait bien l’affaire.

Comme ces tôles étaient galvanisées et que je sais que ce genre de chose est toxique il fallait que je me débarrasse de ce revêtement. Plutôt qu’un ponçage pas forcement efficace, j’ai profité d’avoir mon four de coutellerie  pour chauffer le tout à 1000° pendant un bon quart d’heure. Tout le revêtement a cramé, résultat nickel.

Après c’est un simple jeu de pliage et d’assemblage :

Puis de soudure. Pas besoins de s’énerver trop, quelques points suffisent.

Et enfin un test en conditions réelles : ça marche nickel !

J’ai récupéré le bac inox de mon ancien fumoir pour en faire un bac a combustion au fond du nouveau. Comme ça, si un tison s’échappe ou qu’un peu de graisse s’enflamme, ce ne sera pas au contact du bois. Car oui, pour éviter les problèmes de condensation sus-cités, j’ai décidé de faire ce fumoir en bois. J’avais des chutes de lambris du plafond de ma cave, ça fera parfaitement l’affaire. C’est léger, jointif et surtout non traité, donc parfait pour ce projet. J’ai donc commencé par monter une structure en tasseaux :

Puis j’ai fait les cotés en lambris, juste cloués au pistolet.

Même principe pour la porte :

Évidement, c’est presque une fatalité quand on utilise des chutes, il me manquait 3 morceaux pour finir. J’ai donc mis un bout de planche gravé d’une connerie qui me passait par la tête.

Un trou en bas et en haut pour l’entrée d’air et la sortie des fumées

Avec des grilles qui me permettent des régler les débits.

On y est presque !

Quatre tubes d’acier pour pouvoir poser des grilles (récup d’un meuble de cuisine) ou y accrocher directement les aliments à fumer :

Et c’est le premier test :

Le générateur de fumé est assez « calme » (ce qui me va bien) mais l’avantage, c’est que si je veux une fumée plus dense, il me suffit d’allumer au deux bouts :

Et maintenant une petite vidéo sur l’usage de ce fumoir :
https://youtu.be/GJdn11uCCRI

Je l’utilise maintenant depuis 3 mois et j’en suis plus que satisfait. Tout le monde se régale à la maison !

Courir les magasins bondés pour acheter sans motivation une babiole hors de prix n’est pas une fatalité. Il faut juste s’y prendre un peu en avance et chercher quelques idées. Ce n’est pas la première fois que nous offrons des cadeaux « maison », mais cette année j’ai pris quelques photos espérant pouvoir donner quelques idées si vous cherchez l’inspiration l’an prochain.

A propos de photo, je m’excuse de la piètre qualité de celles-ci, elle ont été prise au dernier moment avec une lumière vraiment pas au top…..

Comme j’avais mon nouvel atelier à inaugurer cette année, j’ai surtout travaillé le bois. Je m’y suis mis grosso-modo fin septembre pour terminer sur la corde le 23 décembre. Seul regret, n’avoir pas eu le temps de chiner ou de récupérer certains éléments (comme les abat-jour par exemple) que j’ai donc du acheter avec les tarifs et le peu de choix qu’offre les magasins de bricolage. On fera mieux l’an prochain !

Vous remarquerez, que pour les adultes, je me suis surtout concentré sur des lampes et des montres. Le fait de limiter un peu le type d’objet permet de gagner pas mal de temps en réflexion et préparation. Par exemple pour les montres, j’ai du faire un gabarit pour défoncer l’emplacement du mécanisme, du coup il m’a servi deux fois. Pour les lampes j’ai pas mal tâtonné pour trouver une technique de montage satisfaisante, mais une fois la première réalisée, ça roulait.

Allez ! Je vous montre :

LES LAMPES:

Le pied de celle ci est un bout de noyer qui était fendu. J’ai comblé cette fente avec de la résine époxy que j’ai teinté avec de la peinture acrylique. Après un long séchage d’une semaine, j’ai poncé aà fond du grain 80 au grain 5000 pour retrouver le brillant de l’époxy. Après un passage à l’huile dure pour plan de travail j’ai poli avec un truc fait pour, à monter sur la ponceuse. Le socle est en MDF peint puis vernis.

Même technique et même bout de bois pour celle-ci. Cette fois l’époxy a été teinte avec de la poudre bleu de fil à tracer; ça a donné une belle transparence que j’ai accentué en mettant quelques touches de peinture blanche au fond de la « crevasse ».

Celle-ci est en frêne que j’ai brûlé avec les 2000V d’un transformateur de micro-onde ce qui donne un effet « fractale de Lichtenberg » un peu comme la foudre. J’ai « gratté » le charbon avec une brosse métallique puis j’y ai coulé de la résine époxy teinte en blanc. Le socle est une chute de plan de travail en un matériau proche du Corian.

Pour cette dernière, pas d’artifice, simplement le magnifique travail de la nature avec un morceau de noyer juste coupé, poncé, huilé.

LES MONTRES :

Une horloge à poser composé d’un bout de noyer et d’un bout d’érable collés. J’ai du défoncer l’emplacement du mécanisme dans le dos. J’ai également inséré deux petits ronds de laiton pour indiquer 3 et 9h. Finition à l’huile dure.

Une pendule murale d’un modèle qu’on voit assez régulièrement sur internet (tapez wood clock dans pinterest…) mais que je voulais essayer depuis un moment…. Le cerclage métallique est une fermeture de fût en plastique pour les fruits. La planche, sans doute centenaire, vient de mon plancher de grenier. Le plus compliqué a été d’insérer proprement le bois dans le cerclage qui a une forme intérieur assez complexe. Le cerclage n’était pas oxydé uniformément, j’ai donc  forcé l’oxydation avec du sel humide pendant une semaine puis brossé et huilé le métal. Pour éviter une ouverture intempestive, une fois le tout bien monté, j’ai mis un point de soudure au mécanisme.

LE RESTE :

C’est en coupant un bout de noyer que je suis tombé sur cette surprenante forme de demi-cœur. J’ai donc coupé la tranche suivante et assemblé les deux en coulant un fond d’époxy à l’arrière. L’avant a été soigneusement poncé puis passé à l’huile de tung. Il ne restait plus qu’a monter une petite chaînette.

Pour des fans de dinosaures. Un trophée tricératops à accrocher au mur. L’animal est en contre-plaqué assemblé à mi-bois et collé puis peint. Le support mural est en planche de sapin, teinté au brou de noix. Le tout a été huilé à l’huile dure. 
J’ai trouvé le gabarit sur le formidable site instructables.com, à la base c’est un porte bouteille à poser sur table. J’ai agrandit et imprimé le tout sur plusieurs feuilles avec le logiciel PosteRazor pour me faire un patron à l’échelle 1.

Et pour terminer, le plus imposant en taille, sur une commande des parents, un banc pour lire l’histoire du soir. C’est de l’impro sur établi avec comme seule contrainte les mesures du matelas qui sera posé dessus et la place dans la chambre. Je l’ai réalisé en chute de bois de coffrage et quelques lattes de sommier récupérées. Pour ne pas perdre la place en dessous, j’y ai mis deux tiroirs montés sur roulettes.

Je ne m’engagerai pas sur le fait que ces cadeaux aient plu ou non mais en tout cas pour ma part, j’ai pris beaucoup de plaisir a les réaliser. Pour tout dire j’ai même eu un petit coup de blues une fois le tout terminé, en mode « mais que vais-je pouvoir bien faire maintenant ? ». Mais vous me connaissez, ça n’a pas duré bien longtemps et on se retrouve donc très bientôt pour d’autres aventures !

Et pour terminer quelques photos supplémentaire sous forme de vidéo pour alimenter ma chaîne youtube.